le 8 décembre 2015
Les évènements historiques
continuent de se dérouler au Moyen-Orient alors que les anciens empires,
ottoman (Turquie) et perse (Iran), sont à la recherche d’alliés dans leur lutte
pour la mainmise des champs pétroliers en vue de redessiner les cartes de la
région. La lutte au Moyen-Orient concerne également le contrôle des
pétrodollars et donc celui du système monétaire mondial. Vu sous cet angle, il
s’agit d’une guerre civile occidentale par intermédiaires interposés sur la
région. Le kaléidoscope complexe des forces luttant pour la manne pétrolière
rend les informations en provenance de la région extrêmement confuses. Donc,
cela paraît être le bon moment pour essayer d’identifier les acteurs-clés et leurs
projets avant de présenter les dernières évolutions de cette guerre. Le premier
élément à considérer c’est qu’il y a un conflit pour le contrôle d’un flux
financier d’une valeur de plus de 2 000 milliards de $ par an. L’Europe par
exemple, a dépensé plus de 600 milliards de $ en énergie en 2013, selon les
statistiques publiées par Eurogas.
La plupart provient des
importations du Moyen-Orient, ou bien de la Russie. La Chine et les Etats-Unis
ont dépensé des sommes identiques, ainsi que le reste du monde. La soi-disant
faction néoconservatrice de la mafia khazar espérait mettre la main sur tout ce
pétrole et ainsi conserver le contrôle de la planète pour au moins un siècle de
plus, comme on peut le lire dans leur rapport du Projet pour un Nouveau Siècle
Américain (PNAC). C’est pourquoi le rejeton de la Mafia khazar, George Bush Jr et
ses amis ont organisé le 11 septembre comme un nouveau « Pearl Harbor ».
C’est pourquoi l’armée américaine et les militaires occidentaux ont été manipulés
pour voler le pétrole pour le compte de ces gangsters sous le prétexte de
chercher des armes de destruction massive et de traquer Ben Laden (qui était
déjà décédé en décembre 2001 !, NdT.) Nous savons également que le truand
du régime de Bush Jr, Donald Rumsfeld, avait déclaré qu’il manquait 2300
milliards de $ dans le budget du Pentagone juste avant le 11 septembre. Cet
argent a servi à créer les armées mercenaires désignées sous le nom de
Blackwater, Academi et maintenant l’EIIL, selon le renseignement militaire
américain.
Cette milice privée, forte de
500 000 hommes environ, s’est emparée des champs pétroliers du
Moyen-Orient, particulièrement en Irak et en Syrie. Nous savons également
par de nombreux rapports détaillés que le pétrole volé est blanchi par Israël,
la Turquie et l’Arabie Saoudite. Ces pays sont tous dirigés par des familles de
la mafia khazar adoratrices de Satan se prétendant musulmanes ou juives.
L’autre élément qu’il faut ajouter
à nouveau, c’est que les grandes compagnies pétrolières et leurs actionnaires
sont complètement impliqués dans ce conflit. Les grandes compagnies pétrolières
qui sévissent dans la région sont BP (les Rothschild britanniques), Exxon Mobil
(les Rockefeller), Gazprom (Rothschild plus des oligarques russes) et le
syndicat du crime Saoudien/Bush. Les factions apparemment opposées de la mafia
khazar ont fait semblant de se battre tout en coopérant ensemble pour créer un
super-état dans la région sous contrôle khazar. C’est à cela que devait servir
finalement la série de coups d’états « du printemps arabe » dirigés
contre des gouvernements de la région.
Il y a également une importante
lutte entre factions qui se déroule entre les forces armées et les services de
renseignement des Etats-Unis, de la Russie et de la Chine pour mettre un terme
définitif au contrôle khazar sur la région et ailleurs. Nous devons également
nous rappeler que la Russie, la France, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Iran, la
Turquie, le Yémen, l’Arabie Saoudite, la Syrie, le Pentagone et d’autres
participent activement aux combats, aux côtés de l’armée mercenaire de l’EIIL au
Moyen-Orient. Nous pouvons constater maintenant qu’il n’est pas déraisonnable
de prétendre que la 3ème guerre mondiale a commencé dans la région.
Bien, après ce rappel du panorama
général de la situation, passons aux derniers développements du conflit. La
semaine dernière, alors que le Président russe Vladimir Poutine rencontrait le
Président américain Barack Obama à Paris, le patron du Pentagone, le général
Joseph Dunford appelait Valéri Guerassimov, le chef d’état-major des forces
armées russes « afin de discuter de la manière de vaincre la Turquie,
Israël et l’Arabie Saoudite dans la véritable guerre au terrorisme »,
selon des sources du Pentagone.
Dans le cadre de cette offensive
conjointe de la Russie et du Pentagone, ce dernier a mis hors d’usage tous les
systèmes de missiles antiaériens Patriot en Arabie Saoudite, en Turquie et en
Israël. En parallèle, la Russie a mis en place une zone d’exclusion aérienne
couvrant toute la région.
« Les reportages israéliens sur
des frappes aériennes en Syrie avec des contremesures des systèmes russe
antimissiles S300 en Grèce ne sont que des mensonges désespérés pour masquer
l’inutilité et la défaite de leur aviation clouée au sol », selon les
sources du Pentagone. Le flux de pétrole vers Israël a été en grande partie
arrêté et ce pays est forcé, malgré ses ruades et ses cris, de renoncer aux
territoires occupés en 1967. Il y a également une ruée sur les banques de
l’allié d’Israël, d’Arabie Saoudite, en réaction aux troupes yéménites
pénétrant dans le pays et encerclant les villes de Najran et Jizan près de la
frontière yéménite.
Le gouvernement allemand a
maintenant rejoint les Russes et le Pentagone en prenant parti officiellement
contre les Khazars en accusant publiquement les Saoudiens de faire partie des
plus grands exportateurs mondiaux du terrorisme.
Entretemps la Russie a pris des
mesures importantes contre les forces mercenaires khazars en Azerbaïdjan, selon
des sources du Pentagone. Une plate-forme pétrolière azerbaïdjanaise a été
incendiée la semaine dernière pour empêcher un flux de pétrole à destination
d’Israël qui servait à financer des exportations d’armes vers la capitale de
l’Azerbaïdjan, Bakou. La Russie a également déployé des missiles en Arménie
pour « clouer au sol les drones de deux bases aériennes israéliennes
secrètes en Azerbaïdjan », disent-ils. « Le message qui est envoyé
indique que l’Azerbaïdjan à majorité chiite doit laisser tomber Israël,
accepter l’accolade de l’ours, arrêter de s’en prendre au Chiites, faire
ami-ami avec l’Iran ou … », a dit l’un d’eux.
La Turquie a maintenant réagi en
envoyant des troupes en Irak et en s’alliant ouvertement avec les Musulmans
sunnites de ce pays. Des sources en contact avec Nouri al-Maliki, jusqu’il y a
peu Président de l’Irak, affirment que Maliki croit qu’il existe un accord
secret américano-turc de partition de l’Irak. Al-Maliki pense que l’EIIL est
hors de contrôle et que les Etats-Unis ne peuvent rien faire pour l’arrêter,
selon les sources.
D’autres sources affirment que le
régime turc occupe simplement le vide du pouvoir qui existe en Irak pour s’étendre
en Arabie Saoudite pour tenter de stopper ce qu’il considère comme une
offensive perse dans la région. Donc, comme mentionné plus haut, nous avons une
guerre entre l’empire ottoman et ses alliés et l’empire perse et ses alliés. Pour
le moment, les paris donnent les Perses gagnants.
Cependant, maintenant que les
Turcs ont compris que l’OTAN ne combattra pas les Russes pour leur compte, vous
pouvez être sûr qu’ils vont négocier en secret avec la Russie et le Pentagone
dans l’espoir d’éviter le désastre. Les militaires américains ont déjà affirmé
clairement qu’ils ne sont pas désireux de protéger Israël, ce qui signifie que
ce pays sera à la merci de la Turquie, de l’Iran, et surtout, de la Russie.
La lutte au Moyen-Orient fait
partie d’un projet planifié plus vaste du complexe militaro-industriel
américain, du démantèlement à l’échelle mondiale du contrôle de la mafia khazar
sur le système bancaire et financier. Ce scénario implique entre autres
« un baril de pétrole à 30 $, un défaut sur la dette des marchés émergents,
la chute des Saoud et l’utilisation du yuan chinois pour payer le pétrole du
Moyen-Orient ». Associé à cela, ces évènements provoqueront l’effondrement
des banques et la fin du Nouvel Ordre Mondial, selon ce qu’envisagent ces
planificateurs. Le catalyseur pourrait bien être l’échéance des fonds
spéculatifs de produits dérivés du pétrole en janvier et février ; qui devraient
soudainement exposer quelques grands acteurs aux effets dévastateurs de l’effondrement
des prix des produits pétroliers.
A l’intérieur des Etats-Unis, le
complexe militaro-industriel conduit une purge des membres de la
« cinquième colonne israélienne » selon les sources. Un signe tangible
a été l’inculpation la semaine dernière de l’ancien président de l’assemblée de
l’Etat de New York, Sheldon Silver, pour sept chefs d’accusation de corruption
fédérale.
L’inculpation fait partie de
mesures destinées à ôter toute protection politique aux fonds spéculatifs de produits
dérivés et aux sociétés criminelles de Wall Street qui pillent l’économie
américaine, selon des sources de la Société du Dragon Blanc (WDS) aux
Etats-Unis.
Un autre indice est une campagne
destinée à se débarrasser du maire de Chicago, Rahm Emanuel, sous le prétexte
du meurtre extra-judicaire d’un adolescent afro-américain. Il ne s’agit en fait
que d’un prétexte légal pour évincer du pouvoir ce gangster de Chicago, selon
les sources de la WDS. Il y aura davantage de têtes qui vont tomber dans les
temps à venir, ajoutent les sources de la WDS américaine. Les Khazars réagiront
avec davantage de fusillades collectives montées de toutes pièces.
Il y a du nouveau au Japon aussi.
L’intermédiaire du pouvoir Chodoin Daikaku affirme que l’ancien ministre des
finances japonais Heizo Takenaka a récemment proposé un pot-de-vin de
« plus d’un milliard de dollars » au politicien populaire de
l’opposition Toru Hashimoto. Etant donné que Takenaka est le traître japonais
qui a remis le contrôle du système financier japonais à la mafia khazar, cette
tentative de corruption de Hashimoto est destinée à faire de lui un serviteur
de la mafia khazar. S’il accepte le pot-de-vin, il lui sera probablement promis
le titre de Premier Ministre mais seulement s’il accepte de continuer à piller
les économies des Japonais au profit de la mafia khazar.
Le dernier rapport de la Banque du
Japon indique que le montant total de l’argent en circulation au Japon diminue
alors que les dernières statistiques du PNB japonais montrent que le pays est
en récession. Ces deux faits prouvent que la soi-disant Abenomie (l’économie
selon Abe) consistant à faire fonctionner massivement la planche à billets
de la Banque du Japon, n’était rien d’autre que le vol de l’argent japonais au
profit de la mafia khazar et de ses banques. Comme le montrent maintenant les
propres statistiques du gouvernement, cet argent de la Banque du Japon n’est
pas dépensé au Japon.
Finalement, Zhang Seung Shik, un
des plaignants réclamant les 30 000 milliards de $ de la fortune d’or des
mandchous, a dit la semaine dernière que la Banque des Règlements
Internationaux (BRI) lui avait promis que l’argent serait utilisé pour
« restaurer la nation mandchoue, diviser la Chine en 16 pays et diviser la
Russie en 4 pays ». Tout ce que nous pouvons dire à M. Zhang c’est qu’il
peut continuer à rêver, mais que personne ne lui confiera une somme de 30 000
milliards de $.
Traduction Française Patrick T rev
Isabelle